Santé

Des progrès médicaux dus à la télémédecine

Par Jean , le 26 octobre 2018 — 2 minutes de lecture

Nous avons la chance, en France, de bénéficier de soins médicaux de grande qualité. Cela est dû en premier lieu à la formation des futurs médecins, chirurgiens, infirmiers et autres personnels médicaux qui apprennent leurs métiers respectifs dans les meilleures conditions. Deuxièmement, la technologie qui est à l’œuvre dans les soins médicaux et chirurgicaux tend en permanence vers la perfection et, même si celle-ci n’existera certainement jamais car les besoins sont toujours de plus en plus précis, cela permet que des maladies puissent être guéries alors qu’elles étaient encore mortelles il y a dix ou quinze ans.

La télémédecine ouvre de nouvelles perspectives

Les médecins, généralistes et spécialistes, doivent de façon régulière, communiquer les uns avec les autres, mais aussi avec les services hospitaliers qui prennent parfois en charge leurs patients, soit pour une intervention, soit pour un examen du type Doppler, scanner, IRM… Pour faciliter ces échanges entre professionnels de la santé, il fallait mettre au point un système dédié. C’est ce qu’a réalisé Acetiam Connect qui a développé la télémédecine. En clair, il est possible à tous les praticiens d’échanger des données liées aux dossiers de leurs patients en toute sécurité, dès que cela est nécessaire. Ainsi les malades sont mieux pris en charge, du fait que chaque professionnel de la santé dispose des informations dont il a besoin pour les soigner.

La miniaturisation des outils chirurgicaux

L’un des autres points qui ont permis à la médecine de faire de grands progrès ces dernières décennies, c’est le fait que les outils utilisés en chirurgie sont de plus en plus petits. Certains sont même de taille microscopique, et ils donnent donc la possibilité d’aller opérer de façon bien plus précise un organe malade. Avec l’assistance des outils informatiques, un chirurgien peut d’une part localiser la source d’une maladie, mais aussi intervenir spécifiquement à l’endroit où elle se développe dans l’organisme de son patient. Cette précision permet dès lors de mieux soigner les Français, et la santé publique s’améliore de ce fait au fil des ans.